Le Japon À Toulouse : La Japan Touch Toulouse Fait Son Grand Retour Les 3 Et 4 Septembre Prochain

Le Jardin Compans-Caffarelli avec son remarquable jardin japonais accueille, pour sa 5e édition, JAPAN TOUCH TOULOUSE le week-end du 3 et 4 septembre 2022.

Après quatre éditions à succès, cet événement 100% culture et traditions japonaises avec un brin de pop culture, ouvert aux petits et grands, est de retour dans la ville rose. Festival inspiré des Matsuri, fêtes populaires traditionnelles japonaises, Japan Touch est gratuit et en plein air. Les visiteurs, seuls, en famille ou entre amis, passionnés ou tout simplement curieux du Japon, pourront découvrir, jouer, s’initier, se distraire, faire voyager leurs papilles jusqu’au pays du Soleil Levant.

Si vous n’allez pas à Tokyo, Tokyo ira à vous. En plein cœur de ville, ce havre de paix mêlant mouvements de terre, rideaux de verdure et univers aquatique, accueillera un village de créateurs, boutiques et animations autour de la culture japonaise. Le visiteur arpentera le parc et découvrira la mode japonaise (vêtements, accessoires, bijoux…), mais aussi des illustrateurs de manga et artisans d’art, bien-être, et objets déco. Plusieurs ateliers traditionnels japonais, des arts martiaux jusqu’aux arts floraux seront proposés.

Des restaurants raviront les plus gourmands de boissons et mets japonais et les cosplayeurs évolueront devant de beaux décors naturels.

Dans le pavillon du jardin japonais (dont l’île rappelle l’île légendaire de Horai, symbole de paradis), propice à la plénitude, le public participera à des cérémonies du thé et séances de méditation zen.

SPECIAL 5 e ANNIVERSAIRE : samedi 3 septembre à 11h, le public traversera le carrefour de Shibuya, le plus grand carrefour piétonnier au monde, transposé place de l’Europe

Le Toulouse Sake Club sera également présent durant tout le week-end avec les boissons japonaises de son saké shop et les produits japonais de son épicerie fine.

Informations pratiques : Horaires : Samedi : 11h-20h Dimanche : 11h-19h Entrée gratuite

Lecture japonisante – Le Banquet, la nouvelle collection sur la gastronomie japonaise aux éditions Picquier dirigée par Ryôko Sekiguchi

On ne présente plus les Editions Picquier, éditeur spécialisé sur l’Asie depuis 1986, dont chaque sortie de livres est toujours attendu avec impatience par tous les amateurs du Japon ou bien de la Chine notamment. Récemment, la maison d’édition a lancé la collection « Le Banquet » .


La collection 
Le Banquet réunit des œuvres japonaises inédites où la nourriture occupe une place centrale, celle du plat de résistance.

Car la cuisine n’est pas un sujet mineur de la création littéraire et ce serait une erreur de restreindre son territoire à un périmètre bien délimité : femmes, famille, partage, bonheur…

La nourriture est tout à fait pertinente pour parler du désespoir, des inégalités, de l’injustice ou d’un monde futur, elle est même indispensable.

Aujourd’hui plus que jamais, avec une nouvelle conscience envers le vivant, nous souhaitons créer une autre relation avec ce qui nous entoure et ce qui nous nourrit. Tisser des histoires de nourriture, c’est parler de notre façon d’être au monde.

Il est temps de se retrouver autour de la grande table fédératrice de la littérature pour goûter au repas de la vie. Le Banquet fera naître en vous un savoureux espoir.

Ryôko Sekiguchi

Et voici la liste des titres déjà parus que vous pouvez retrouver dans toutes les bonnes librairies :

– L’Ode au chou sauté (INOUE Areno)

– Je mange bien, ne t’en fais pas (KAKUTA Mitsuyo, INOUE Areno, MORI Eto, EKUNI Kaor)

– Les Herbes sauvages (NAKAHIGASHI Hisao)

– Les Carnets de table d’un amateur de cuisine japonaise (ARASHIYAMA Kôzaburô)

Mettez du Japon sous le sapin avec le Toulouse Sake Club

La marque toulousaine dédiée aux sakés japonais et aux produits d’épicerie fine japonaise le Toulouse Sake Club, ouvre un pop up store ouvert en continu jusqu’au 24 décembre chez Uniqlo à Toulouse. Faites le plein d’idées cadeaux Japon à mettre sous le sapin !

Le pop up store sera ouvert ouvert le dimanche 19 décembre de 12h à 19h et du 20 au 24 décembre de 10h à 20h au 3 rue du Poids de l’Huile en plein centre de Toulouse. (Métro Capitole ou Jean Jaurès)


Une des plus belles sélections de sakés et alcools japonais sur Toulouse
Venez découvrir une sélection de plus 60 boissons japonaises ,alcoolisées ou non, sélectionnées par un saké sommelier expérimenté et qui a collaboré avec de nombreuses enseignes toulousaines. Un véritable voyage au cœur du Japon et des idées cadeaux pour les fêtes de Noël à travers les sakés japonais, les liqueurs yuzushu, umeshu et fleur de sakura , les shochus, les gins, les bières artisanales japonaises.
Vous pourrez également déguster ces produits au cours des animations proposées par le Club de dégustation dédiés aux alcools japonais et des ateliers dégustation de sakés.


Le meilleur de la gastronomie japonaise avec une épicerie fine
Le Toulouse Sake Club c’est aussi une épicerie fine avec de nombreux produits pour réaliser toutes les recettes japonaises que tout le monde aime tant et se régaler : wasabi, miso, sauce soja, katsuobushi, algues wakame, furikake et gomashio… mais aussi du thé vert bio du Japon (genmaicha…), des amazakés nature ou aromatisés (yuzu, matcha, sésame noir) et bien d’autres produits.


Coté librairie et objets artisanaux japonais
La marque toulousaine propose aussi un rayon librairie japonaise et soutient les petites maisons d’éditions spécialisées sur le Japon (Issekinicho, Editions Ilyfunet – Zoom Japon, Gokan Mag). L’artisanat japonais n’est pas en reste avec des masus traditionnels (verre à saké en bois d’Hinoki), des chokos (verre de dégustation de saké en céramique), des sous verres réalisés à partir de kimonos anciens.


En savoir plus sur le Toulouse Sake Club :
Le Toulouse Sake Club, créée par Bertil LAUTH, Saké Sommelier et fondateur d’Occitanie Japon, souhaite faire découvrir le Japon à travers sa gastronomie et ses alcools. La marque toulousaine propose un boutique en ligne avec plus de 80 références de produits japonais, un club de dégustations dédié aux alcools japonais, des masterclass et des événements japonisants.
Le Toulouse Saké club a été reconnu par le ministère japonais de l’Agriculture de la Forêt et de la Pêche «Japanese Food supporter».

Japon – Vers une réouverture progressive des frontières pour les étrangers ?

Le souhait de nombreux touristes étrangers de revenir au Japon pourrait bientôt être exaucé si l’on en croit les dernières déclarations du gouvernements japonais.

Le gouvernement serait en train de réfléchir à réduire la durée de quarantaine imposée pour toute entrée sur le territoire nippon pour les voyageurs étrangers vaccinés venant pour de cours séjours dans le cadre de voyage d’affaires, des étudiants étrangers. Elle passerait ainsi de 10 jours à trois selon le journal Nikkei.

Cette réduction de durée pourrait aussi concerner les Japonais de retour de l’étranger pour voyage d’affaires. Le but serait de relancer fortement les échanges économiques entre le Japon et ses partenaires commerciaux.

Pour rappel, les possibilités de rejoindre le Japon ont fortement été réduites avec la pandémie de Covid-19 entrainant pas mal de soucis notamment pour les étudiants étrangers et les stagiaires résidant actuellement au Japon, qui en sortant du Japon pour rejoindre leur pays de manière temporaire, n’avaient pas la certitude de pouvoir revenir au Japon.

Pour autant cette quarantaine réduite ne sera pas sans conditions, il sera bien entendu demander un respect des gestes barrières et en cas de nouvelle flambée de l’épidémie et l’apparition de nouveaux variants, de nouvelles restrictions d’accès au territoire japonais pourraient de nouveau être prises.

Du côté du gouvernement japonais, aucun commentaire affirmant ou infirmant cette nouvelle n’a encore filtré. Le gouvernement a seulement indiqué être en pourparlers pour revoir les restrictions et sa volonté de continuer la campagne de vaccination sur son territoire. Depuis quelques mois le gouvernement japonais subit des pressions des entreprises japonaises par le biais de la Japan Business Federation ( Keidanren) pour assouplir les restrictions pour relancer le commerce extérieur et accorder l’entrée au Japon des étrangers vaccinés sans aucune quarantaine.

Actuellement, même en étant vaccinés, les voyageurs doivent observer une quarantaine de 10 jours à leur arrivée au Japon dans l’endroit de leur choix mais en fonction tout de même de leur ville d’arrivée, ce qui refroidit fortement les volontés de voyage au Japon dans ces conditions.

Du japon à Toulouse en juillet : Fête de Tanabata, dégustations de sakés, les escales de l’été

On aurait pu croire qu’avec le début des vacances d’été, les événements culturels japonais à Toulouse et Occitanie auraient eux aussi pris un peu de repos mais il n’en ait rien ! Le Japon va continuer de vivre durant la saison estivale sur Toulouse et ses environs. Nous avons recensé pour vous l’ensemble des événements dont nous avons eu la connaissance. Si un événement manque à cette liste, n’hésitez pas à nous communiquer l’information afin que nous la relayons.

Le premier rendez-vous avec le Japon est donné à Saint-Lys vendredi 9 juillet avec l’événement « Les escales de l’été » qui se propose de vous emmener à Tokyo ! Un événement proposé par l‘association Wakaba, la mairie de Saint-Lys et le traiteur japonais Keikook.

Voici le programme des festivités :

16h : Atelier Manga et Eventail
17h30 : Atelier Origami
19h : Atelier Kendama
20h30 : Concert musique japonaise deWakaband
22h : film « Mon voisin Totoro »

Poursuivez le voyage au Japon avec le Musée Georges-Labit en célébrant la fête de Tanabata. Le rendez-vous est donné le dimanche 11 Juillet entre 12h et 18h, MARIE DEBACK & DJ NO BREAKFAST vous invitent à partager un après-midi en musique dans le jardin du Musée Georges-Labit .Un DJ set à 4 mains, composé de musique Folk, Rock, Pop, Psychédélique, Funk et Disco des années 60/70/80 du Japon (mais aussi des sonorités plus contemporaines, Electroniques, Ambient, Expérimentale … avec peut être quelques brèves excursions vers les pays voisins : la Thaïlande, le Cambodge, l’Indonésie, le Vietnam ou encore la Chine.

Il vous sera donner la possibilité d’écrire un vœu sur un « tanzaku » et de l’accrocher dans les bambous durant les DJ sets. Ils seront tous décrochés et brûlés en fin d’après-midi afin que les étoiles Altaïr et Vega les réalisent.

Informations pratiques : Musée Georges-Labit, 17 Rue du Japon, 31400 Toulouse.

Le Toulouse Sake Club, spécialiste du saké et des alcools japonais sur Toulouse et l’Occitanie, ne partira pas non plus en vacances en juillet. Deux événements sont prévus mais d’autres événements pourraient s’ajouter dans les prochains jours.

Le premier événement est une nouvelle soirée dégustation de sakés « Sakés et spécialités ibériques » chez Wine Notes à L’Union le vendredi 16 juillet de 18h à 21h.

Retrouvez le Toulouse Saké Club à l’Atelier des Chefs Toulouse pour une initiation d’une heure au saké japonais avec accords le vendredi 23 juillet à 20h. Formule découverte de trois sakés et accords 38€. Informations et réservations.

L’exposition « Fragments du Japon » au Château de Lavardens dans le Gers qui a débuté le 1er juin continue jusqu’au 26 septembre. En savoir plus : https://chateaulavardens.fr/

Go to Travel : les précisions d’Au Fil du Japon, agence de voyage francophone basée à Tokyo

Alors que la campagne de soutien au tourisme domestique japonais « Go To Travel » bat son plein depuis son lancement en juillet et son ouverture récente à Tokyo. Nous avons pris contact avec une agence de voyage francophone tenue par des Français se trouvant à Tokyo, Au fil du Japon pour y voir un peu plus clair. En effet, beaucoup d’informations erronées ont pu circulé ces derniers mois ou des personnes vivant au Japon pourraient en bénéficier mais ne le savent pas.

L’agence Au Fil du Japon fait partie des agences référencées auprès du gouvernement japonais et peut donc faire bénéficier aux voyageurs éligibles les réductions prévues par « Go To Travel« . Voici les précisions données par l’agence:

La campagne gouvernementale Go to Travel est destinée à soutenir les différents acteurs du tourisme au Japon. En tant que partenaire, notre agence est habilitée à en faire bénéficier les expatriés francophones.        
 En effet, Go to Travel est une véritable aubaine pour les Japonais, comme pour les expatriés. Tous les résidents du Japon avec un Visa de séjour supérieur à 3 mois peuvent en bénéficier et profiter de voyages à moitié prix dans tout l’archipel !  


De fait, un voyageur peut tout à fait décider de réserver par lui-même son hôtel sur une plateforme avec la réduction GoTo et il sera logiquement tenté de procéder ainsi pour éviter des frais d’agence… Mais en passant par un professionnel, c’est sur l’intégralité du voyage qu’il pourra bénéficier de la réduction : vols, trains, location de voiture, activités, guidage, tickets d’entrées, autres services… Pour un gain autrement plus important ! 

Dans la pratique, il suffit de nous contacter pour obtenir un devis sur-mesure du projet de vacances : nous revenons alors avec une proposition tarifée dont 35% du montant seront déduits avant paiement, tandis que 15% supplémentaires seront rendus sous la forme de coupons à dépenser à destination, dans les très nombreux commerces partenaires (restaurants, souvenirs, mais aussi supérettes, magasins en tout genre…). Au total, Go to Travel prend donc en charge 50% du montant du séjour.  

De plus, outre l’aspect strictement financier, passer par notre agence permet aux voyageurs de profiter de l’expertise et des conseils de notre équipe qui saura s’adapter à leurs demandes, ou se montrer force de propositions.  

Un grand merci à l’équipe d’Au fil du Japon pour ces précisions. N’hésitez pas à les contacter pour toutes questions complémentaires.

La compagnie japonaise All Nippon Airways (ANA) célébre les 30 ans de sa ligne Tokyo-Paris

La compagnie aérienne ANA (All Nippon Airways) a fêté le 30eme anniversaire de sa liaison entre Tokyo et Paris. Inaugurée le 4 octobre 1990 à raison de deux vols hebdomadaires entre sa base à Tokyo-Narita et l’aéroport de Paris-CDG, la ligne de la compagnie privée japonaise est devenue quotidienne et directe au départ d’Haneda.

En raison de la crise sanitaire, la compagnie de Star Alliance a réduit la voilure sur l’axe Paris – Haneda, desservi trois fois par semaine les mardis, mercredis et samedis.

Par ailleurs, ANA a défini une nouvelle norme du voyage aérien baptisée « ANA Care Promise » afin d’assurer le confort et la sécurité de tous ses passagers et de ses collaborateurs en leur offrant des conditions sanitaires optimales aux aéroports, dans les salons et à bord de ses appareils.

Classée depuis huit ans 5 étoiles par Skytrax, ANA « se doit d’être toujours à la hauteur pour proposer à ses passagers un voyage des plus confortable et agréable, afin de leur faire vivre un moment de sérénité ».

A ce jour, ANA a transporté plus de 4,44 millions de passagers fidèles sur cet axe entre les deux capitales, « tant dans le cadre de leur travail que pour leurs vacances, et l’engouement des Français pour le Japon ne se dément pas ».

Avant la pandémie, de Covid-19, le nombre de visiteurs vers le Japon connaissait une croissance à deux chiffres depuis plusieurs années, les Français « étant de plus en plus nombreux à découvrir et succomber aux charmes du Japon ». Ils retournent à plusieurs reprises pour visiter non seulement les grandes métropoles que sont Tokyo, Kyoto et Osaka, mais « s’aventurent également dans toutes les autres régions de l’archipel desservies par ANA ».

Dès l’ouverture de la ligne vers Paris, ANA s’est attachée à soutenir activement les projets « qui lient nos deux pays dans de nombreux domaines : musique, danse, théâtre, art, spectacles vivants, cinéma, production audio-visuelle, culture pop & manga mais aussi gastronomie et sport. La compagnie est devenue un acteur incontournable des relations entre la France et le Japon en aidant à diffuser la culture japonaise en France mais aussi en participant au rayonnement de la culture française au Japon. Pour ne citer que quelques projets soutenus par ANA : Centre Pompidou de Metz, spectacles de Kabuki au théâtre de Chaillot, exposition de Takashi Murakami au Château de Versailles, musée des Impressionnismes à Giverny, musée Monet Marmottan, tournoi de sumo à Paris, pavillon Manga City au Festival de la BD d’Angoulême, Japan Tours Festival ou l’Institut français du Japon ».

Afin de « ravir les papilles de ses passagers », ANA a également noué des partenariats avec des chefs français de renom comme Pierre Gagnaire, Toru Okuda, Sébastien et Michel Bras ou encore Alexandre Gauthier. Et dernièrement, elle fut partie prenante « de nombreux événements lors de l’année du Japonisme en France, les âmes en résonnance ».

Fondée en 1952 avec deux hélicoptères, ANA est aujourd’hui la première compagnie aérienne du Japon et l’une des plus importantes compagnies d’Asie, offrant un réseau de 82 lignes internationales et de 118 lignes intérieures.

ANA en chiffres :

– flotte de 260 appareils (dont deux et bientôt trois Airbus A380)

54,4 millions de passagers transportés durant l’année fiscale 2018

43 000 collaborateurs dans le monde

Japon – Lancement d’un JR pass pour les résidents étrangers le 16 octobre 2020

Le rêve de nombreux expatriés vivant au Japon va enfin être exaucé ! Ils vont pouvoir enfin bénéficier d’un JR Pass, le fameux sésame qui permet de prendre certains trains en illimité au Japon sur une durée de 7, 14 ou 21 jours à un prix modique au vu du nombre de trajets qu’il permet de faire. Mais ce pass n’est normalement disponible que pour les touristes étrangers. La compagnie de trains JR EAST vient d’annoncer le lancement pour une période limitée d’un JR Pass à destination des expatriés et ce pour une durée limitée.

Baptisé  » JR EAST Welcome Rail Pass 2020″, il permettra pendant trois jours consécutifs et seulement pour les résidents étrangers de pouvoir voyager en train (Shinkansen compris) en illimité autour de Tokyo, dans le Tohoku, Nagano et Niigata.

Le pass sera disponible à la vente pour une durée limitée à partir du 16 octobre 2020 jusqu’au 26 février 2021 et sa période de validité sera comprise entre le 16 octobre 2020 et 28 février 2021.

Mais combien va-t-il coûter?

Le prix sera de 12 000 yens pour les adultes (96,20€ ) et de 6000 yens pour les enfants (48,10€).

Entre le plan Go To Travel, Go To Eat et le « JR EAST Welcome Rail Pass 2020« , si vous vivez actuellement au Japon, vous n’aurez plus aucune excuse pour ne pas visiter le Japon.

Pour obtenir des informations complémentaires, n’hésitez pas à visiter le site de JR EAST.

Le Japon va permettre l’entrée sur son territoire pour tous les demandeurs de visas non-touristiques à partir d’octobre

Alors que la crise économique et la crise fait rage au Japon, les autorités commencent à assouplir les modalités d’accès à son territoire. A partir du mois d’octobre, les demandeurs de visas hors visas touristiques pourront enfin se rendre au Japon.

L’annonce a été faites vendredi 25 septembre lors d’une réunion du gouvernement japonais. Cette annonce va permettre à de nombreuses personnes de pouvoir enfin se rendre dans le pays du Soleil-levant pour les affaires notamment. En effet, depuis avril 2020, l’accès au pays est plus que réduit et une liste de 159 pays « bannis » avait été établie. Des assouplissements avaient été fait récemment pour les ressortissants japonais et les résidents permanents mais uniquement pour certains motifs.

Les mesures assouplies de contrôle aux frontières, qui entreront en vigueur jeudi, s’appliqueront aux nouveaux résidents ayant la permission de rester plus de trois mois, quelque soit leur provenance. Cependant les voyageurs venant de pays avec de forts taux de contamination au COVID-19 devront respecter des règles plus strictes pour pouvoir venir au Japon.

Le Premier Ministre japonais Yoshihide Suga a indiqué que « la reprise des voyages internationaux est indispensable pour relance l’économie de la nation ».

La décision d’assouplir les restrictions d’entrée intervient alors que le Japon se prépare pour les Jeux de Tokyo, qui débuteront normalement le 23 juillet prochain. Avec ces changements, le gouvernement devrait également permettre l’entrée des sportifs professionnels qui ont l’intention de participer aux Jeux olympiques l’été prochain.

Toutefois, le Japon n’autorisera qu’un nombre limité de nouveaux arrivants étrangers avec un maximum de 1 000 par jour, en partie en raison de la capacité de tests limitée dans les aéroports. Par contre, les limitations ne s’appliqueront pas aux ressortissants japonais.

Cet été, partez au Japon… en Occitanie !

Vous aimez le Japon et vous aviez planifié un voyage cette année ? Malheureusement, cela risque d’être compliqué pour cette année en raison de la pandémie de coronavirus et toutes les contraintes que cela engendre en terme de déplacements. De plus, le Japon a fermé ses frontières à plus d’une centaine de pays dont fait partie la France.

Mais pas de panique, si vous ne pouvez pas vous rendre au Japon, votre site préféré vous apporte sur un quelques bonnes adresses en Occitanie qui vous permettront de patienter en attendant des jours meilleurs et de pouvoir vous rendre au pays du Soleil-levant.

Pour certaines adresses notamment sur Montpellier et ses alentours, nous avons fait appel à l’ami David de Mission Japon qui nous a partagé ses bons plans ! N’hésitez pas à voir ou revoir leurs vidéos sur Youtube pour compléter le voyage.

Envie d’un dépaysement total dans un cadre appelant à la détente ? Pourquoi ne pas découvrir ou redécouvrir la vie dans un ryokan authentique dans une chambre japonaise traditionnelle avec tatami et futon. Vous pourrez lors de votre séjour profiter du bain traditionnel, porter un yukata et pour compléter l’immersion totale déguster un repas japonais. Situé dans le Tarn, Hosomi Ryokan propose en complément des massages japonais.

Si vous optez pour un Japon coté nature, nous vous emmenons à la découverte des jardins, si vous êtes à Toulouse, ne manquez pas le Jardin japonais reconnu jardin remarquable. Inspiré de différents jardins de Kyoto, il comporte un pavillon de thé et un pont rouge notamment et saura vous transporter pour quelques heures au Japon. Si vous souhaitez ramener un peu de nature japonaise chez vous, il faudra vous rendre à L’arbre en pot, grand spécialiste de bonsaï.

Pour continuer notre périple japonais à travers les jardins japonisant d’Occitanie, ne manquez pas égalemet le Jardin des Martels à Giroussens (Tarn), La Bambouseraie en Cévennes à Générargues (Gard) ou bien encore Le Parc aux bambous à Lapenne (Ariège).

Vous êtes plutot culture traditionnelle japonais? Le Musée Georges-Labit de Toulouse est un incontournable de la ville rose mais aussi d’ Occitanie pour tout amateur d‘arts japonais. L’intérieur et l’extérieur du musée gagnent à être visités. Le musée organise régulièrement des événements et proposent aussi des ateliers autour de la culture japonaise.

Cet été, l’Occitanie accueille trois belles expositions. Une dans le Gers au Château de Lavardens « Fragments du Japon : entre art contemporain et traditions« , une autre au Musée Soulages de Rodez : « Pierre Soulages, le Japon, etc« et une dans le Tarn par Corinne Dechelette baptisée  » Kokeshi ».

Les voyages, ça creuse et la nourriture faisant aussi partie du voyage, voici quelques adresses incontournables à découvrir pour continuer cette immersion estivale au Japon. A Toulouse, si vous êtes un lecteur assidu d’Occitanie Japon, vous les connaissez déjà, mais il est toujours bon d’en parler à nouveau. Si vous êtes plutot izakaya, c’est chez Iori, pour les ramens, c’est chez Shin-ya ramen que cela se passe et si l’envie de déguster un okonomiyaki ou des yaki soba vous prend ce sera chez Juguem. (Pour d’autres adresses à Toulouse). En allant plus vers l’Est de l’Occitanie, du coté de Collioure, le 5ème péché (Pyrénées-Orientales) reste une belle adresse à découvrir avec une cuisine fusion et gastronomique qui permettra d’explorer une autre cuisine japonaise. A Montpellier chez Umiyaki, vous pourrez découvrir une palette large de spécialités japonaises : takoyakis, Okonomiyaki, bento ou des ramen.

Gokan Mag, le Japon à travers les 5 sens

Un nouvel acteur dans l’édition autour du Japon a fait son apparition il y a quelques semaines avec le lancement du magazine « Gokan« , qui veut dire « 5 sens » en Japonais.

A l’origine du projet, on retrouve David Michaud, photographe, auteur qui vit au Japon depuis 2007. Il est aussi le créateur de l’un des premiers blogs importants sur le Japon : LeJapon.fr. A ce jour, il a publié 5 livres : «JAPON», «Traditionnel Japon», «JAPON : 365 Us et Coutumes», «Le Japon – Grands Voyageurs» et «Japon Vu de l’Intérieur» ! et a participé à la rédaction de « Un grand week-end à Tokyo« . En 2009, il fait découvrir son Tokyo insolite et secret avec le Tokyo Safari, qui depuis a fait des petits dans plusieurs autres villes du Japon. D’ailleurs, toute la team de Japon Safari met la main à la pâte pour la réalisation du magazine Gokan.

Pourquoi le magazine Gokan et qu’allez-vous y trouver ?

Après de nombreuses années à faire découvrir le Japon sur le terrain, via leurs blogs (LeJapon.fr, HorizonsDuJapon.com, Suteki.fr, Tanukitsuneko.com…) ou leurs publications de livres, David Michaud a souhaité partager avec ses acolytes leur Japon par le biais d’un autre support. L’équipe a pris le parti pris de proposer un magazine français réalisé au Japon sans publicités dans lequel ils veulent montrer un Japon plus authentique, plus humain, loin des clichés habituels et faire vivre une expérience du Japon à 360° à travers les 5 sens !

Gokan mag sortira tous les trimestres et mettra en avant une ville ou un endroit du Japon. Vous pouvez dès à présent découvrir les deux premiers opus sur le site en version pdf et gratuit consacrés à la « Diamond route » et « Ehime« . Le troisième opus est dédié à Izumo est proposé au prix de 600 yens en version light. La crise sanitaire et l’indépendance représentant un coût pour cette nouvelle aventure, vous avez la possibilité de vous procurer la version Premium imprimé via un crowdfunding .

N’hésitez pas à soutenir ce projet pleins d’ambitions et de très grande qualité !

Premières pressions européennes pour réduire les restrictions de voyage vers le Japon

Le Japon suite à la pandémie de coronavirus avait pris des dispositions pour limiter l’accès à son territoire à l’encontre d’une centaine de pays (111 à aujourd’hui). Ces restrictions sont toujours en vigueur même si des déclarations du gouvernement japonais annonçant un éventuel allègement de ces mesures à l’attention des hommes d’affaires et de certains pays avec qui elle entretient des relations commerciales importantes.

D’autres pays d’Asie ou les États-Unis poussent depuis quelques semaines dans ce sens afin de relancer leur économie et les échanges avec le Japon. Jusqu’à maintenant, l’Europe était assez peu revendicative. Mais depuis hier, un lobby d’entreprises européennes a exhorté le Japon a allégé les restrictions d’entrée à l’encontre des Européens en mettant en avant l‘impact négatif sur les échanges entre le Japon et l’Europe.

Le Japon et l’Union Européenne avait signé un accord commercial en février 2019 dans le but d’accroitre les échanges. Cet accord a boosté les exportations vers le Japon (+6,6%) et les investissements japonais en Europe. Cette dynamique fut stoppée net par les mesures prises par le Japon pour limiter la propagation du coronavirus sur son territoire. Michael Mroczek, Président du European Business Council au Japon a suggéré au Japon de réduire les restrictions pour les résidents permanents et les « résidents longue-durée » en indiquant que parmi eux beaucoup ont des entreprises ou sont employés au Japon, mais aussi pour les voyageurs d’affaires.

Le Premier Ministre japonais Shinzo Abe a de nouveau indiqué vouloir réduire progressivement dès cet été les conditions de restrictions pour certains pays dont les pays européens ne font pas partie pour le moment. Ces premières déclarations de la part d’organismes européens feront-ils avancer les choses ? Rien n’est moins sûr. Même si les relations entre le Japon et l’Europe sont plutôt bonnes, le poids de l’Europe parait encore bien léger face à des pays plus proches géographiquement.

Retrouvez nos précédents articles sur le sujet : Réouverture des frontières au Japon : la priorité sera donnée aux voyageurs d’affaires, Le Japon pourrait ouvrir de nouveau ses frontières à quatre pays dans le courant de l’été, Le Japon pourrait permettre à 250 business men issus de quatre pays de rentrer sur son territoire quotidiennement

Le Japon pourrait ouvrir de nouveau ses frontières à quatre pays dans le courant de l’été

Avec la levée de l’état d’urgence sur tout le pays et la situation sanitaire s’améliorant dans quelques pays, le Japon étudie la possibilité d’alléger la liste des pays actuellement interdits de territoire japonais. Une première vague de quatre pays pourraient être concernée par cette réouverture du pays : la Thaïlande, le Vietnam, l’Australie et la Nouvelle-Zélande.

Les restrictions d’entrée au Japon sont prévues sauf prolongation jusqu’au mois de juin sans pour autant qu’une date de levée ait été pour autant annoncée jusqu’à lors. Le gouvernement japonaise espère une réouverture progressive dans l’été ou plus tard en fonction de l’évolution de la situation.

Le choix de se porter sur ces quatre pays s’expliquent par leur maitrise apparente de la pandémie de coronavirus mais aussi par une demande du milieu des affaires de permettre à nouveau la circulation pour reprendre les échanges commerciaux.

A noter que le Vietnam, l’Australie et la Nouvelle-Zélande font partie de l’accord de Partenariats Trans-Pacifique avec le Japon notamment. Le ministre de la Relance Économique japonais Yasutoshi Nishimura doit s’entretenir  avec ses homologues pour évoquer cette levée de restriction d’accès à l’archipel nippon. Le Japon entretient des relations commerciales fortes avec ces pays et une reprise des affaires rapidement pourraient permettre de relancer une économie en berne. Ce qui laisse sous-entendre, comme nous vous en avions parlé, d’une réouverture du pays prioritairement aux hommes d’affaires dans un premier temps. Cependant, l’entrée dans le pays sera soumise à la présentation d’un document attestant d’un test négatif au coronavirus avant le départ du pays d’origine et à l’arrivée au Japon.

A contrario, il n’est pas question pour le moment d’une réouverture à la Chine et à la Corée du Sud malgré les demandes insistantes de ces deux pays. Ils feront certainement partie de la deuxième vague d’ouverture voire plus tard.

Des doutes ont été émis notamment par les États-Unis sur la sincérité des statistiques du coronavirus données par la Chine ce qui rend le gouvernement japonais hésitant pour assouplir les règles d’entrée dans le pays pour les ressortissants chinois.  Du coté de la Corée du Sud, il est question de nouvelles apparitions de foyers épidémiques, ce qui appelle à la plus grande prudence avant une réouverture aux Sud-coréens.

Pour le moment rien n’est encore arrêté du coté du gouvernement japonais, mais la question est étudiée avec attention tant au niveau de la liste des pays à nouveau autorisés à entrer dans le pays dans un premier temps que les critères de sélection retenus. Les prochaines semaines devraient permettre d’y voir un peu plus clair.

 

 

Plan de relance du tourisme au Japon : les précisions de l’Office National du Tourisme Japonais (JNTO)

Nous vous avions parlé dans un précédent article publié le 22 mai dernier que le tourisme japonais subissait la plus grand crise de son histoire et que le Japon cherchait des solutions pour le relancer. Il avait été évoqué l’étude d’un plan de 12 milliards d’euros qui pourraient prendre en charge des frais de voyage :

 » Parmi les idées à l’étude, il y aurait la prise en charge partielle des dépenses de voyage une fois l’épidémie terminée. Un programme de 12 milliards d’euros pourraient être ainsi lancer en juillet prochain si toutes les conditions sanitaires sont bien entendu garanties ».

Après échange avec l’Office National du Tourisme Japonais (JNTO), celui-ci a tenu à préciser de nouveau qu’il s’agissait pour le moment d’un projet et que rien n’avait été acté pour le moment, ce que nous vous avions indiqué et que malheureusement d’autres sites ou blogs en mal de notoriété, certainement, ont surinterprété en laissant croire à leurs lecteurs que la moitié des frais de voyage des touristes seraient pris en charge. D’ailleurs cette information n’a jamais été communiquée.

L’autre point qui a son importance, et sur lequel nous n’avions laissé sous-entendre quoi ce soit, est que si ce plan de relance du tourisme voyait le jour, il ne serait destiné qu’à la relance du tourisme domestique japonais et ne concernerait donc pas les touristes étrangers. La presse japonaise a d’ailleurs repris les articles publiés pour éviter toute confusion et déception de ses lecteurs étrangers se voyant déjà au Japon à frais réduits.

La seule chose de sûre, finalement dans cette affaire, est que le Japon est déterminé à relancer son économie et ne laissera pas tomber les acteurs du tourisme japonais qui souffrent déjà depuis plusieurs mois. Et puis si vous voulez vous rendre au Japon, même sans subventions cela restera un beau voyage quand même.

Si vous recherchez des informations pour votre voyage au Japon, n’hésitez pas à lire nos précédents articles.

Voyage au Japon – « Quelque chose du Japon », le premier livre d’Angelo Di Genova

Angelo Di Genova vit au Japon depuis 2009. Photographe, guide à Osaka et auteur du blog « Horizons du Japon« , il sort son premier livre « Quelque chose du Japon » aux éditions Nanika le 25 mai 2020. Afin de faire plus ample connaissance avec lui, nous avons souhaité échanger sur son parcours, ses activités et la sortie de son premier livre.

Attention ! Décollage pour le Japon dans 3, 2, 1…c’est parti !

Occitanie Japon : Peux-tu te présenter pour ceux qui ne te connaissent pas ?

Angelo Di Genova : Je m’appelle Angelo, j’ai 36 ans et je vis à Osaka avec ma femme et mes deux enfants. Depuis tout petit j’ai un intérêt pour le Japon. Ça a commencé avec l’aïkido, puis ça s’est propagé sur de nombreux aspects pour devenir une passion importante de ma vie. J’ai commencé à apprendre le japonais d’abord en autodidacte au collège, puis à l’université de Strasbourg, ma ville d’origine. C’est en 2006 que je suis venu la première fois sur place. Un voyage qui m’aura énormément marqué. J’avais 21 ans.

Occitanie Japon : Tu vis au Japon depuis 2009, comment es-tu arrivé au Japon ?

Angelo Di Genova : Après 2006, je suis retourné chaque année au Japon, toujours pour de longs voyages à explorer le pays en profondeur. Mes découvertes de lieux méconnus m’ont donné envie de lancer un projet touristique pour partager ça avec des voyageurs. C’est à partir de 2009 que je suis devenu créateur de voyage sur-mesure et accompagnateur sur place après de nombreux efforts. Le Japon n’était pas encore à la mode à cette époque. C’était plutôt risqué.

Occitanie Japon : Tu as plusieurs activités : photographe, guide…peux-tu nous en parler ?

Angelo Di Genova : L’accident nucléaire de Fukushima en 2011 a stoppé net mes activités de cette époque. Il n’y avait presque plus de touristes au Japon et le projet n’a pas tenu, malgré des débuts prometteurs. C’est dans ce contexte que j’ai rencontré David Michaud (du site lejapon.fr) à Tokyo. Il est le créateur des safaris photos, des visites originales et photogéniques. Le courant est bien passé parce qu’on était dans le même état d’esprit. Très rapidement, a germé l’idée de développer le concept à Osaka, ce que j’ai fait dès janvier 2012. Je suis donc aujourd’hui spécialisé dans les visites de cette ville que je connais comme ma poche et que j’adore ! Parallèlement, la photo (et la vidéo) sont d’autres passions depuis longtemps. Avec mes premiers voyages j’ai lancé un blog, devenu aujourd’hui horizonsdujapon.com, le site sur lequel je partage mes textes et mes photos sur le Japon. Et plus professionnellement, les activités au sein du groupe Japon Safari ne se limitent pas qu’au tourisme. Nous sommes une équipe de photographes et nous travaillons aussi avec cette casquette sur de nombreux projets, que ce soit avec des médias européens ou les régions japonaises. J’ai par exemple pu travailler dans l’élaboration d’un prospectus de communication en français avec la ville d’Osaka en 2017. Je me suis chargé de tout, design, textes et photos. C’était une super expérience !

Occitanie Japon : Tu viens d’ajouter une nouvelle corde à ton arc avec la sortie le 25 mai de « Quelque chose du Japon » aux éditions Nanika, un guide de voyage un peu différent des guides habituels, peux-tu nous en dire un peu plus ?

Angelo Di Genova : Nanika est une jeune maison d’éditions portée par des Français de ma génération. Nous avons la même approche du voyage, plus humaine, spontanée et culturelle. Ils ont une collection de livres sur divers pays nommée « Quelque chose de ». J’ai été approché afin d’écrire le volume sur le Japon. J’ai tout de suite accepté ce formidable défi. Le livre est composé de 5 chapitres : Histoire & traditions, Religion et spiritualités, Gastronomie, Arts & culture et Vie quotidienne. Expliquer, raconter, synthétiser des sujets sur le Japon c’est ce que je fais tout le temps lors des visites Osaka Safari. Ce guide est un prolongement naturel de mon travail. Il permet, je pense, d’obtenir une introduction culturelle très riche sur le Japon, sans jamais devenir lourd ou élitiste non plus. On y découvre beaucoup de choses très ancrées dans la réalité quotidienne, tirées de mes expériences sur place et j’en profite au passage pour tordre le cou à quelques idées reçues 🙂

Occitanie Japon : Même si la période est un peu compliquée pour le tourisme, beaucoup de gens préparent malgré tout un futur voyage au Japon. Quels conseils donnerais-tu à quelqu’un qui souhaite se rendre au Japon pour la première fois ?

Angelo Di Genova : Beaucoup appréhendent leur premier voyage au Japon. C’est normal. C’est un gros morceau : l’autre bout du monde, un budget non négligeable etc. Donc on se prépare énormément, peut-être même trop, surtout qu’il y a cette peur de ne pas réussir à communiquer avec les locaux ou à déchiffrer les informations importantes. Je tiens à dire que le pays offre un confort de voyage incroyable ! Il y a bien sûr beaucoup d’informations à digérer, mais les choses fonctionnent avec beaucoup de fiabilité. Les informations sont souvent bien distillées, les Japonais sont très serviables et pour couronner le tout, aucune peur liée à l’insécurité. C’est du pain béni pour les voyageurs. Donc ne vous cassez pas trop la tête non plus. Prévoyez ce qui est le plus important et ensuite laissez-vous porter sur place. Profitez du confort qu’offre le pays.

Occitanie Japon : Pour terminer, en tant que guide à Osaka, quel est pour toi l’endroit à ne pas manquer si l’on vient à Osaka ?

Angelo Di Genova : Dans la continuité de ma réponse précédente, j’aime bien justement éviter de citer des lieux pour inviter les voyageurs à se perdre et faire des découvertes par eux-mêmes. C’est important de ressentir l’endroit qu’on visite de manière plus spontanée. Pour qui sait regarder, il y a partout des choses intéressantes. Le problème n’est jamais l’endroit que l’on visite mais l’angle sous lequel nous l’abordons. Mais puisque je dois citer un quartier, j’aimerais parler de Shin-Sekai, car peu d’endroits représentent autant un des esprits caractéristiques d’Osaka que Shin-Sekai. Osaka est une ville unique au Japon. C’est un peu l’exception qui confirme la règle. Et c’est pourquoi ça vaut le coup de venir ici, car on en ressort avec une vision beaucoup plus complète du pays. Après l’idéal pour en saisir tous les secrets, pour mieux comprendre le pays, ou quand on manque de temps, c’est de faire un Osaka Safari avec moi 🙂

Un grand merci à Angelo de nous avoir offert cet échange. Vous pouvez d’ores et déjà précommander « Quelque chose du Japon » sur le site de l’éditeur. Vous pourrez également vous le procurer auprès de votre libraire habituel à partir du 25 mai. Vous pouvez également feuilleter le livre ici en attendant sa sortie.

Et si vous souhaitez en savoir plus sur Angelo, n’hésitez pas à le suivre sur les réseaux: Facebook, Twitter, Instagram…etc.

Japon – Les accès au Mont Fuji seront fermés cet été à cause du COVID-19

mont fuji - fuji san

Pour prévenir la propagation du coronavirus, le Mont Fuji ne sera pas accessible aux alpinistes cet été a annoncé la Préfecture de Shizuoka qui gère trois des quatre routes majeurs pour atteindre le sommet du célèbre volcan japonais.

Habituellement, ils sont des milliers d’alpinistes a tenter l’ascension du Fuji San entre le 10 juillet et le 10 septembre. Cette année, la Préfecture de Shizuoka a souhaité limité les risques d’infections et a préféré interdire l’accès en raison des refuges se trouvant sur le trajet de l’ascension. Ces derniers seront bien entendu également fermés. Le Mont Fuji, classé à l’UNESCO, attire chaque année 236 000 alpinistes d’après le Ministère de l’Environnement dont 85 000 utilisent les pistes se trouvant à Shizuoka.

Dans le même temps, la Préfecture de Yamanashi a pris également la même décision. La piste de Yoshida, qui se trouvent à Yamanashi, attire chaque année 60% des alpinistes effectuant l’ascension.

C’est la première fois depuis 1960 qu’une telle décision est prise.

 

 

Réouverture des frontières au Japon : la priorité sera donnée aux voyageurs d’affaires

Le ministre des Affaires Étrangères japonais Toshimitsu Motegi  a annoncé qu’en cas de réouverture des frontières, seulement les hommes d’affaires pourraient dans un premier temps entrer sur le territoire japonais.

Il a aussi indiqué que l’ouverture des frontières se feraient progressivement par groupe de pays en espérant que la réciprocité soit faites également avec ces mêmes pays.  Pour rappel, ce sont actuellement les ressortissants d’une centaine de pays et ceux qui y ont résidé sur les 15 derniers jours qui sont interdits d’entrée au Japon. Du coté des voisins du Japon, la Chine et la Corée du Sud ont pris des mesures similaires mais depuis le début du mois, les businessmen testés négatif au Covid-19 sont autorisés à rentrer dans le pays.

Le ministre des Affaires Étrangères a tenu à rappeler que les mesures actuelles s’assoupliraient une fois l’épidémie maitrisée au Japon mais aussi dans le monde. Petit à petit, le Japon tente de réduire les contraintes liées à la pandémie. Depuis jeudi 14 mai, l’état d’urgence a été levé dans 39 des 47 préfectures japonaises.

Ceux qui espéraient effectuer un voyage au Japon en 2020 devront donc encore patienter.

 

 

Voyage au Japon – Le Japon ferme ses frontières pour toute personne non-japonaise en provenance d’Europe

Dans le cadre de la lutte contre le Covid-19, le Japon a pris une nouvelle disposition qui est entrée en vigueur depuis le 27 mars minuit :  toute personne non japonaise ayant séjourné dans un pays européen, dont la France, dans les 14 jours précédant son arrivée sera interdite d’entrée au Japon. Cette mesure est prise pour une durée indéterminée.

L’interdiction d’entrer sur le territoire concerne également les Français ayant un statut de résidents au Japon et qui souhaiteraient retourner au Japon après avoir séjourné dans un des pays visés par l’interdiction d’entrée dans les 14 jours précédant leur arrivée au Japon. Une exception sera accordée aux conjoints mariés à des ressortissants japonais et qui peuvent produire leur acte de mariage (« koseki tohon »).

Cette interdiction d’entrée vaut également pour les personnes ayant séjourné en Nouvelle Calédonie ou en Polynésie Française.

Les autres pays concernés sont : Irlande, Andorre, Italie, Estonie, Autriche, Pays-Bas, Suisse, Suède, Espagne, Slovénie, Danemark, Allemagne, Norvège, Vatican, Belgique, Portugal, Malte, Monaco, Liechtenstein, Luxembourg, Islande, Saint-Marin.

Plus que jamais le Japon est sur le qui-vive et cherche à limiter la propagation du Covid-19 sur son territoire. Pour le moment, le confinement total n’est pas envisagé malgré un nombre croissant de personnes contaminées.

Voyage au Japon – Les jours fériés au Japon 2020

L’année 2020 est une année un peu particulière pour le Japon avec l’ère Reiwa et les Jeux olympique de Tokyo, ce qui a des conséquences sur les jours fériés. Ainsi certains jours fériés en 2020 sont décalés en raison des Jeux Olympiques de Tokyo :

  • Le jour de la mer, habituellement le 15 juillet, sera reporté  d’une semaine aura lieu le  23 juillet, soit la veille de la cérémonie d’ouverture des Jeux.
  • Le jour du sport aura lieu le 24 juillet au lieu d’octobre habituellement. La date du 24 juillet correspond  à la date où aura lieu la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques.
  • Le jour de la montagne sera célébré le 10 août, soit le lendemain de la cérémonie de clôture des JO.

Suite à l’accession au trône de l’empereur Naruhito, le jour férié accordé correspondant à son anniversaire sera le 23 février à partir de cette année.

Cette année la « Golden week » aura lieu du 29 avril au 6 mai.

Voici le récapitulatif de tous les jours de congés prévus en 2020 au Japon:

1er janvier – Nouvel An
13 janvier (2ème lundi de janvier) – Jour des adultes
11 février – Jour de la fondation du Japon

23 février – Anniversaire de l’Empereur
20 mars  – Équinoxe de printemps
29 avril – Jour de Showa
3 mai – Jour de la Constitution
4 mai – Jour de la verdure
5 mai – Jour des enfants

6 mai – Jour de congé car le jour de la Constitution tombe un dimanche
23 juillet (veille de l’ouverture des JO) Jour de la mer

24 juillet (jour d’ouverture des JO) – Jour de la santé et du sport

10 août (jour suivant la clôture des JO) – Jour de la montagne
21 septembre (3ème lundi de septembre) – Fête des personnes âgées
22 septembre – Équinoxe d’automne
3 novembre – Jour de la culture
23 novembre – Fête du travail

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Possibilité d’acheter en ligne des tickets pour visiter le Shinjuku Gyoen de Tokyo

Le parc Shinjuku Gyoen est un des plus grands et des plus populaires jardins de Tokyo notamment à la période des sakura. Son entrée est payante (500 yens) et jusqu’à maintenant il n’était pas possible d’acheter des tickets d’entrée en ligne, ce qui pouvait parfois engendrer des files d’attente assez longue.
En prévision des Jeux olympiques de Tokyo et pour remédier à ce problème, le Gouvernement japonais a indiqué vouloir mettre en place une billetterie en ligne.
L’attente peut parfois durer plus d’une heure.Il sera possible aussi à partir de février 2020 de payer à l’entrée du parc par carte de crédit, carte Suica, smartphone et autres paiements électroniques. Il s’agira dans un premier temps d’une phase test avant le déploiement final officiellement en avril 2020 si le test est concluant.

Le Japon a pris un peu de retard sur les paiements électroniques par rapport à ses voisins asiatiques comme la Chine ou la Corée du Sud.

C’est le cas notamment pour les lieux touristiques gérés par l’État ou les gouvernements municipaux qui jusqu’à maintenant pour limiter les frais de transaction pour ne pas diminuer leurs bénéfices n’acceptaient pas les paiements en cartes bancaires ou en monnaie électronique. Avec l’arrivée des Jeux olympiques, l’année prochaine, la tendance commence à s’inverser.