Le Japon actuellement en pleine crise économique a du fermer ses frontières à plus d’une centaine de pays ces derniers mois afin de se préserver d’une explosion de cas de COVID-19 sur son territoire. Cependant, des négociations ont été entamés avec quatre pays (Vietnam, Nouvelle-Zélande, Australie et la Thaïlande), mais une dizaine de pays tous asiatiques pourraient eux aussi être de nouveau autorisés à entrer au Japon dont ferait partie la Chine et la Corée du Sud.
Parmi les heureux élus figurent Brunei, le Cambodge, le Laos, la Malaisie, la Mongolie, le Myanmar, Singapour et Taïwan. Le gouvernement japonais a indiqué vouloir rétablir les liaisons avec des pays qui ont stoppé la propagation du coronavirus sur leur territoire. Le choix de ces pays en plus de satisfaire aux conditions sanitaires japonaises sont aussi des partenaires importants pour l’archipel nippon. Comme il avait indiqué auparavant, le Ministre des Affaires Étrangères japonais a de nouveau confirmé que la priorité serait donnée aux hommes d’affaires. La question des étudiants et des touristes étrangers sera étudiée ultérieurement, mais ne constitue pas une priorité pour le Japon.
Les futurs voyageurs autorisés à entrer sur le territoire japonais devront se soumettre à leur arrivée à un test de dépistage du COVID-19, celui-ci devra bien entendu être négatif pour ne pas être refoulé par les autorités locales. En prévision des levers de restriction d’accès, le Japon va augmenter ses capacités de dépistage dans les trois principaux aéroports du pays : Tokyo Haneda, Tokyo Narita et Osaka pour porter la capacité de tests PCR (Réaction en Chaîne par Polymérase) à 4000 par jour .