Une société de consulting américaine a publié un classement des villes les plus chères du monde pour les expatriés. La capitale japonaise a perdu une place par rapport à l’année dernière en passant de la deuxième place à la troisième place. Hong Kong conserve sa première du classement pour la troisième année consécutive.
Le Mercer’s Cost of Living Survey a publié cette année un classement regroupant 209 villes dont Achgabat (capitale du Turkménistan) classée deuxième cette année ( 7ème l’année dernière), Zurich première ville européenne arrive en 4 ème place, suivi de Singapour qui chute cette année de deux places par rapport à l’année dernière. New York aussi recule dans le classement passant de 6ème à 9 ème. Dans le Top 10, on retrouve Shanghai (7ème), Bern (8ème), Genève et Pékin.
Le maintien de Hong Kong en haut du classement vient notamment des variations du dollar ayant entrainé une augmentation du coût de la vie sur place. Ce classement a été créé pour aider les États et les multinationales à déterminer la politique des salaires de leurs salariés expatriés.
Ce sondage mesure le cout de plus de 200 éléments dans chaque ville incluant le logement, les transports, la nourriture, les vêtements, l’ameublement et les loisirs. La ville de New York sert de base de calcul pour tous les éléments et les variations de devises le sont par rapport au dollar américain.
Le cabinet Mercera a précisé lors de la présentation de son étude que les derniers mois, entre le confinement, les fermetures des frontières, les pénuries de certains biens…etc., ont affecté le coût de la vie et la qualité de vie.
Au plus bas du classement, on retrouve la ville de Tunis (Tunisie) qui ferme la marche, puis Windhoek en Namibie (208ème), Tachkent (Ouzbékistan) et Bichkek (Kirghizstan).